La Fable du Porc-Épic!
C'était l'hiver le plus froid jamais vu.
De nombreux animaux étaient morts en raison du froid.
Les porcs-épics, se rendant compte de la situation
avaient décidé de se regrouper.
De cette façon ils se couvraient et se protégeaient eux-mêmes!
Mais les piquants des porcs-épics de chacun
blessaient leurs compagnons les plus proches
même s'ils se donnaient beaucoup de chaleur les uns aux autres.
Après un certain temps, ils ont décidé de prendre leur distance l'un de l'autre
et ils ont commencé à mourir, seuls et congelés.
Alors, ils devaient faire un choix :
accepter les piquants de leurs compagnons ou disparaître de la terre.
Sagement, ils ont décidé de revenir en arrière pour vivre ensemble.
De cette façon, ils ont appris à vivre avec les petites blessures
causées par l'étroite relation avec leurs compagnons
mais la partie la plus importante était la chaleur qui venait des autres.
De cette façon, ils ont pu survivre.
La meilleure relation n'est pas celle qui rassemble les gens parfaits,
mais le mieux est quand chacun apprend à vivre
avec les imperfections des autres et on peut y découvrir et admirer
les bonnes qualités des autres personnes.
La morale de l'histoire :
« Apprendre à aimer les piquants dans notre vie. »
De nombreux animaux étaient morts en raison du froid.
Les porcs-épics, se rendant compte de la situation
avaient décidé de se regrouper.
De cette façon ils se couvraient et se protégeaient eux-mêmes!
Mais les piquants des porcs-épics de chacun
blessaient leurs compagnons les plus proches
même s'ils se donnaient beaucoup de chaleur les uns aux autres.
Après un certain temps, ils ont décidé de prendre leur distance l'un de l'autre
et ils ont commencé à mourir, seuls et congelés.
Alors, ils devaient faire un choix :
accepter les piquants de leurs compagnons ou disparaître de la terre.
Sagement, ils ont décidé de revenir en arrière pour vivre ensemble.
De cette façon, ils ont appris à vivre avec les petites blessures
causées par l'étroite relation avec leurs compagnons
mais la partie la plus importante était la chaleur qui venait des autres.
De cette façon, ils ont pu survivre.
La meilleure relation n'est pas celle qui rassemble les gens parfaits,
mais le mieux est quand chacun apprend à vivre
avec les imperfections des autres et on peut y découvrir et admirer
les bonnes qualités des autres personnes.
La morale de l'histoire :
« Apprendre à aimer les piquants dans notre vie. »
BONNE JOURNÉE!
Regard d'un enfant
sur la retraite en Floride
Après le congé de Noël,
une maîtresse de maternelle demande à ses élèves
comment ils ont passé leur vacances.
Un petit garçon lève la main et raconte.
Autrefois, on passait Noël chez les grands parents qui demeuraient ici,
dans une grande maison de briques rouges.
Mais grand-père a été retraité et ils sont déménagés en Floride.
Ils demeurent dans un endroit où se trouvent beaucoup de gens retraités.
Ils habitent tous dans des maisons de tôles.
Beaucoup se promènent dans des chaises qui roulent,
car ils sont trop fatigués pour marcher.
Ils jouent des jeux et font des exercices, mais ils ne jouent pas très bien.
Autrefois, mon grand-père avait des chevaux.
Je crois qu'il s'en ennuie, car il joue avec les pattes des chevaux.
Il appelle cela des fers. S'il réussit à le lancer dans un poteau, lui et
un autre retraité sautent les bras en l'air et crient.
Les deux autres retraités ne rient pas. Je crois qu'ils boudent.
Ma grand-mère joue avec une petite boule rouge qu'elle lance
et les autres retraités lancent une grosse balle dessus pour essayer de la frapper.
Ma grand-mère dit que, si elle réussit, elle gagne 25 sous.
Pauvre grand mère, je vais lui envoyer les sous que j'ai dans ma banque.
Près du centre de loisirs,
il y a une piscine où les retraités se tiennent debout,
chapeau sur la tête comme des statues. Je suppose qu'ils ne savent pas nager.
Autrefois, grand-mère faisait toujours des tartes et des gâteaux quand on allait la visiter,
mais plus maintenant.
Je crois qu'elle a oublié comment faire, car personne ne cuisine là-bas.
Tout le monde mange au casse-croûte.
À l'entrée du parc, il y a une petite maison dans laquelle se tient un garde.
Il surveille jour et nuit afin que personne ne puisse sortir sans qu'il ne le sache.
Tout le monde porte des macarons sur lesquels est inscrit leur nom.
Ma grand-mère m'a dit qu'il y a des retraités qui oublient parfois leur nom.
Avec cela, ils ne sont pas obligés de dire leur nom.
Grand-mère dit que grand-père a travaillé très fort toute sa vie afin d'être retraité.
J'aimerais bien qu'ils reviennent habiter ici,
mais je suppose que le garde ne les laissera jamais partir.
J'ai décidé que je ne travaillerais pas fort dans ma vie!
Oh! Non! Car je ne veux pas devenir retraité.
une maîtresse de maternelle demande à ses élèves
comment ils ont passé leur vacances.
Un petit garçon lève la main et raconte.
Autrefois, on passait Noël chez les grands parents qui demeuraient ici,
dans une grande maison de briques rouges.
Mais grand-père a été retraité et ils sont déménagés en Floride.
Ils demeurent dans un endroit où se trouvent beaucoup de gens retraités.
Ils habitent tous dans des maisons de tôles.
Beaucoup se promènent dans des chaises qui roulent,
car ils sont trop fatigués pour marcher.
Ils jouent des jeux et font des exercices, mais ils ne jouent pas très bien.
Autrefois, mon grand-père avait des chevaux.
Je crois qu'il s'en ennuie, car il joue avec les pattes des chevaux.
Il appelle cela des fers. S'il réussit à le lancer dans un poteau, lui et
un autre retraité sautent les bras en l'air et crient.
Les deux autres retraités ne rient pas. Je crois qu'ils boudent.
Ma grand-mère joue avec une petite boule rouge qu'elle lance
et les autres retraités lancent une grosse balle dessus pour essayer de la frapper.
Ma grand-mère dit que, si elle réussit, elle gagne 25 sous.
Pauvre grand mère, je vais lui envoyer les sous que j'ai dans ma banque.
Près du centre de loisirs,
il y a une piscine où les retraités se tiennent debout,
chapeau sur la tête comme des statues. Je suppose qu'ils ne savent pas nager.
Autrefois, grand-mère faisait toujours des tartes et des gâteaux quand on allait la visiter,
mais plus maintenant.
Je crois qu'elle a oublié comment faire, car personne ne cuisine là-bas.
Tout le monde mange au casse-croûte.
À l'entrée du parc, il y a une petite maison dans laquelle se tient un garde.
Il surveille jour et nuit afin que personne ne puisse sortir sans qu'il ne le sache.
Tout le monde porte des macarons sur lesquels est inscrit leur nom.
Ma grand-mère m'a dit qu'il y a des retraités qui oublient parfois leur nom.
Avec cela, ils ne sont pas obligés de dire leur nom.
Grand-mère dit que grand-père a travaillé très fort toute sa vie afin d'être retraité.
J'aimerais bien qu'ils reviennent habiter ici,
mais je suppose que le garde ne les laissera jamais partir.
J'ai décidé que je ne travaillerais pas fort dans ma vie!
Oh! Non! Car je ne veux pas devenir retraité.
BONNE JOURNÉE !
Le tablier de Grand-Mère !
Te souviens-tu du tablier de ta grand-mère ?
Le principal usage du tablier de grand-mère était
de protéger la robe en dessous, mais, en plus de cela,
il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau.
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants
et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses sales.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs,
à réanimer les poussins,
et parfois à ramasser les oeufs fêlés
qui finissaient dans le fourneau.
Quand les visiteurs arrivaient,
le tablier servait d'abri à des enfants timides.
Et, quand le temps était frais, grand-mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet agité au-dessus du feu de bois.
C'est lui qui transbahutait les pommes de terre
et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager,
il servait de panier pour de nombreux légumes.
A près que les petits pois aient été récoltés,
venait le tour des choux.
En fin de saison, il était utilisé
pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand les visiteurs arrivaient de façon impromptue,
c'était surprenant de voir avec quelle rapidité
ce tablier pouvait faire de la poussière.
À l'heure de servir le repas,
grand-mère allait sur le perron agiter son tablier,
et les hommes aux champs
savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi
pour poser la tarte aux pommes, à peine sortie du four,
sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse.
De nos jours, sa petite fille
la pose dans le micro-ondes pour la décongeler.
Il faudra de bien longues années
avant que quelqu'un n'invente quelque objet
qui puisse remplacer
ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
Le principal usage du tablier de grand-mère était
de protéger la robe en dessous, mais, en plus de cela,
il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau.
Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants
et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses sales.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs,
à réanimer les poussins,
et parfois à ramasser les oeufs fêlés
qui finissaient dans le fourneau.
Quand les visiteurs arrivaient,
le tablier servait d'abri à des enfants timides.
Et, quand le temps était frais, grand-mère s'en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet agité au-dessus du feu de bois.
C'est lui qui transbahutait les pommes de terre
et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager,
il servait de panier pour de nombreux légumes.
A près que les petits pois aient été récoltés,
venait le tour des choux.
En fin de saison, il était utilisé
pour ramasser les pommes tombées de l'arbre.
Quand les visiteurs arrivaient de façon impromptue,
c'était surprenant de voir avec quelle rapidité
ce tablier pouvait faire de la poussière.
À l'heure de servir le repas,
grand-mère allait sur le perron agiter son tablier,
et les hommes aux champs
savaient aussitôt qu'ils devaient passer à table.
Grand-mère l'utilisait aussi
pour poser la tarte aux pommes, à peine sortie du four,
sur le rebord de la fenêtre pour qu'elle refroidisse.
De nos jours, sa petite fille
la pose dans le micro-ondes pour la décongeler.
Il faudra de bien longues années
avant que quelqu'un n'invente quelque objet
qui puisse remplacer
ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses.
Grand-maman avec le tablier de sa grand-maman.
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